Dirigée par le marie écologiste Grégory Doucet, la ville de Lyon multiplie les initiatives en faveur de l’environnement et la biodiversité, la lutte contre le réchauffement climatique et la production massive de déchets. Ainsi, la Ville a fait appel au cabinet Carbone 4 pour scanner ses systèmes d’information.
L’objectif est de mesurer, d’ici la fin du premier semestre 2021, l’impact environnemental de ses réseaux, ses logiciels, son parc informatique et de leurs usages. Cela inclut donc tout ce qui a trait au système d’information géographique. Dans un second temps, il faudra agir sur les émissions de gaz à effet de serre, en engageant la Ville dans une démarche d’amélioration continue, tout en garantissant un bon niveau de service...
En effet, malgré l’apparente dématérialisation, le numérique représente une part importante des consommations de matières et d’énergie pour produire, faire fonctionner et si possible recycler tout ce qui fait fonctionner le numérique. En 2019, près de 4% des émissions carbonées mondiales sont dues aux systèmes numériques, soit deux fois plus que le transport aérien !
«Nous voulons engager la Ville dans un numérique plus responsable. Le bilan carbone des systèmes d’information de la Ville de Lyon est une première étape dans cette démarche. Il doit nous permettre d’identifier les axes de progression majeurs, et nous servir de sensibilisation sur les impacts du numérique», explique dans un communiqué Bertrand Maes, Adjoint au Maire délégué à l’Administration générale, l’informatique, la politique numérique et les mairies d’arrondissement.
Cette démarche de la ville de Lyon est pionnière, notamment dans le fait de focaliser sur un seul service, en l’occurrence celui des systèmes d’information de la Ville. Pourtant, avec le Grenelle 2, le bilan carbone risque de devenir une obligation à court terme pour les entreprises de plus de 500 salariés et les collectivités locales de plus de 50.000 habitants.
+ d’infos :
lyon.fr
carbone4.com
L’objectif est de mesurer, d’ici la fin du premier semestre 2021, l’impact environnemental de ses réseaux, ses logiciels, son parc informatique et de leurs usages. Cela inclut donc tout ce qui a trait au système d’information géographique. Dans un second temps, il faudra agir sur les émissions de gaz à effet de serre, en engageant la Ville dans une démarche d’amélioration continue, tout en garantissant un bon niveau de service...
En effet, malgré l’apparente dématérialisation, le numérique représente une part importante des consommations de matières et d’énergie pour produire, faire fonctionner et si possible recycler tout ce qui fait fonctionner le numérique. En 2019, près de 4% des émissions carbonées mondiales sont dues aux systèmes numériques, soit deux fois plus que le transport aérien !
«Nous voulons engager la Ville dans un numérique plus responsable. Le bilan carbone des systèmes d’information de la Ville de Lyon est une première étape dans cette démarche. Il doit nous permettre d’identifier les axes de progression majeurs, et nous servir de sensibilisation sur les impacts du numérique», explique dans un communiqué Bertrand Maes, Adjoint au Maire délégué à l’Administration générale, l’informatique, la politique numérique et les mairies d’arrondissement.
Cette démarche de la ville de Lyon est pionnière, notamment dans le fait de focaliser sur un seul service, en l’occurrence celui des systèmes d’information de la Ville. Pourtant, avec le Grenelle 2, le bilan carbone risque de devenir une obligation à court terme pour les entreprises de plus de 500 salariés et les collectivités locales de plus de 50.000 habitants.
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