Et si vous communiquiez ?

Conférences annuelles d’Esri, les Rencontres arcOpole, le festival international de la géographie de Saint-Dié des Vosges, les Rencontres Décryptagéo, le Techday en Suisse Romande, salon international de la géomatique à Abidjan, les Journées du SITG ou de l’ASIT VD, GeoBeer Suisse, etc. Pour se constituer un réseau et échanger avec des homologues, assister à des salons, des festivals ou des conférences est presque une condition sine qua none. «Dans le domaine de la géomatique, tous les évènements, qu’ils soient organisés localement ou à plus grande échelle, ont une portée. C’est intéressant dans la mesure où ils se répètent et qu’ils sont anglés sur des thématiques précises», soutient Caroline Destrez, Directrice des comptes chez Esri Suisse. Cela permet également d’avoir vent de manifestations ou réunions à venir voire de tisser des liens avec des organisations professionnelles évoluant dans le domaine de la géomatique pour aller plus loin dans une démarche d’échange et de partage. 

Rassemblant les pouvoirs publics et régies publiques autonomes qui gèrent et utilisent des données géographiques sur Genève, le SITG (Système d’information du territoire genevois) assure ainsi depuis 25 ans la promotion ainsi que la diffusion centralisée et commune des géodonnées. «En interne, nous avons mis en place un réseau de géomaticiens de métiers, fédéré de manière transversale à tous les départements par les activités du centre de compétence géomatique. Ces organes permettent de montrer l’utilité du SIG et de faire connaître les géodonnées disponibles. La mise en commun des volontés, des données et de l’image de la géoinformation dans la région sous une bannière neutre telle que le SITG me semble un modèle de succès», assure Pascal Oehrli, Directeur du service de géomatique et du centre de compétence du SITG.